Bon nombre de fans de Science-Fiction l’attendent depuis longtemps : The Room sortira le 14 mai prochain en VOD. fourteen ans après Renaissance, le réalisateur français Christian Volckman nous suggest une nouvelle œuvre. Troublante et poétique, celle-ci sera distribuée par Condor Distribution. Entre critique de l’opportunisme et éclatement de 50’espace temps, ce film devrait satisfaire boy populace.
Kate (Olga Kurylenko) et Matt (Kevin Janssens) emménagent dans une vieille bâtisse afin de la retaper. Lorsqu’ils découvrent une pièce qui exauce toutes leurs demandes matérielles, les deux amoureux décident de mener la grande vie. Jusqu’au jour où ils sec’aperçoivent que tout ce qui est créé par la maison function en poussière une fois la porte d’entrée franchie… Qu’adviendra-t-il de l’enfant que la chambre leur a donné ? Construit de façon assez classique en trois parties, The Room sec’inscrit dans la lignée des récits d’H.P Lovecraft, légende de la littérature de science-fiction.
Un décor fantastique
Loin des trois vœux accordés par la lampe du génie d’Aladdin, cette pièce offre absolument tout ce qu’il désire à celui qui lui demande. Argent, jolies robes, œuvres d’fine art originales, alcool… On ne saura pas comment fonctionne ce mécanisme, si ce n’est qu’il semble tout droit sorti d’un roman lovecraftien. Alimentée par une jungle de câbles sans fin, la chambre paraît reliée à un étrange cœur électrique qui second’illumine à chaque demande. Trop impressionnante pour le professionnel venu inspecter les lieux, cette automobile suscite bien des interrogations. Les plans lents et rapprochés dessus renforcent boy aura de mystère.
Loin d’être le seul élément inquiétant de la maison, la pièce redécorée par Matt donne également la chair de poule. Entièrement recouverte de papier peint blanc rayé de noir, certaines images donnent presque le tournis. Cette salle illustre d’ailleurs parfaitement la paranoïa dans laquelle sombre le personnage.
The Room, la spirale si tentante du matérialisme
Qui ne céderait pas à pareille tentation ? En un claquement de doigts, tout 50’silverish du monde au creux de la master. Si Kate se montre réticente les premiers instants, elle se voit rapidement conquise par cette méthode. « Qu’importe son fonctionnement tant que ça marche » lance Matt. Le ton est donné, pas la peine de sec’embarrasser de considérations morales quand il est si simple d’avoir ce que 50’on veut. Le couple nage littéralement dans les billets et le champagne, faisant fi des éventuelles conséquences de ce comportement.
Ce petit monde doré s’effondre lorsqu’ils comprennent que les cadeaux de la chambre ne peuvent quitter la maison. Tout ce matériel ne leur servira qu’à second’amuser de façon éphémère. Le réel problème concerne plutôt 50’enfant accordé par la chambre… Fini de jouer, voilà les deux amoureux parents d’un être… fictif ? La confusion et la peur s’installent dans 50’esprit de Kate et Matt, autant que dans celui du spectateur. La première, extrêmement attachée à fifty’enfant et le moment ultra méfiant.
Répercussions sur la vie du dyad
La relation entre les deux principaux protagonistes reste au cœur du celluloid. Celle-ci pâtit naturellement de leur comportement opportuniste dénoncé par fifty’auteur. Une déchéance qui sec’opère en plusieurs étapes logiques. D’abord très unis et amoureux, 50’arrivée d’un bébé demandé par Kate ouvre un nouveau chapitre de l’histoire. De plus en addition inquiet quant à fifty’look surnaturel de cet enfant, Matt le rejette, tandis que Kate l’adopte totalement. Le span n’existe alors quasiment plus, jusqu’à ce qu’un nouvel élément déclencheur ne le rapproche à nouveau. Un schéma habituel employé dans une state of affairs inhabituelle, ce qui appuie le malaise du spectateur. L’attachement de Kate semble de plus en addition malsain à mesure qu’elle sec’éloigne de son compagnon. De son côté, Matt paraît si enfermé sur lui-même qu’il semble ne summation exister. Une analyse intéressante et crédible de la vie de ce yoke, d’ailleurs très bien interprété.
Sous couvert de boy étiquette Science-Fiction, The Room traite d’un sujet tout à fait d’actualité : 50’opportunisme. Dénonçant la recherche de plaisir immédiat très fréquente dans la société contemporaine, 50’auteur met en garde contre une mental attitude trop matérialiste. Porté par une musique excellente et de petits clins d’oeils à Shining et Splice, The Room se regarde avec bonheur.